STEVE JACKOWSKI

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Petites Critiques de Il reste la poussière (Sandrine Collette) et de Continuer (Laurent Mauvignier)

31/12/2017

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Il reste la poussière ***
de Sandrine Collette

Bien que ce roman soit bien écrit et mérite tous les prix et critiques élogieuses qu’il a reçus, je dois admettre que je n’ai pas aimé Il reste la poussière. Mais ce n’est pas la faute du livre. 

Sandrine Collette a créé exactement ce qu’elle voulait : une histoire qui se passe au cœur de la Patagonie où les espaces grands ouverts contrastent avec les personnages fermés et violents. Son écriture est belle, ses descriptions détaillées. Elle écrit avec une cadence efficace pour une histoire tellement sombre.

Mais moi, je préfère que les personnages se dessinent à travers les dialogues, leurs pensées et leurs actions, et malheureusement, Sandrine Collette tient à nous tout expliquer. C’est une question de style et franchement, à mon avis, celui-là est peu captivant.

​J’ai apprécié le roman, mais je ne l’ai pas aimé.


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Continuer*****
De Laurent Mauvignier

​D’habitude, je préfère découvrir les personnages à travers leurs dialogues, leurs pensées ou actions. Mais avec moins de dix lignes de dialogue, Laurent Mauvignier a réussi à me captiver avec son histoire d’une mère qui veut sauver son fils de sa dérive vers la délinquance en l’emmenant au Kirghizistan.
 
Mère et fils rebelle traversent ce pays sauvage et dangereux avec leurs deux chevaux.
 
Les exigences de ce voyage sauveront-elles non seulement le fils, mais aussi la mère elle-même ? Ou bien celle-ci va-t-elle connaître un nouvel échec ?
 
Fortement recommandé !

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Quelques petites critiques des livres de Joël Dicker: Le Livre des Baltimore, La Vérité sur l'affaire Harry Quebert, Les derniers jours de nos pères

20/12/2017

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Dans l'ordre que je les ai lus:
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​Le Livre des Baltimore***** 
de Joël Dicker 

Lu le 6 octobre 2016

Un des meilleurs romans français que j’ai jamais lus. Les personnages sont aussi  complexes que l’histoire. Et nous, les lecteurs, découvrons leurs secrets (et ceux du narrateur) bien avant qu’ils ne les racontent. Le style et l’histoire me rappellent Phillip Roth. A ne pas manquer !


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​La Vérité sur l'affaire Harry Quebert**** 
de Joël Dicker 

Lu le 1 novembre 2016

Je comprends pourquoi on dit que Joël Dicker frôle le plagiat de The Human Stain (La Tache) par Phillip Roth. Malgré cette « tâche » et des rebondissements peu crédibles, le roman est bien écrit et vaut le coup.

​

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Les derniers jours de nos pères*** 
de Joël Dicker 
​
Lu le 12 janvier 2017


Apres avoir lu Le Livre des Baltimore et ensuite La Vérité sur l’affaire Harry Quebert, j’avais hâte de lire le premier roman de Joël Dicker, Les derniers jours de nos pères. Au début, je n’ai pas pu croire que c’était le même écrivain, tellement le style était différent. Pire, les personnages ne sont que des esquisses, manquant de profondeur Et même si le style s’améliore vers la fin, le rebondissement crucial est peu crédible. J’ai été assez déçu.

​Cependant bien que ce premier roman soit un peu faible, je dois admettre que les suivants sont excellents.

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Critique de l'Insouciance de Karine Tuil

9/12/2017

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​En plein milieu du premier chapitre, j’ai failli interrompre ma lecture tant le roman était violent, sombre et déprimant. 
 
On y rencontre Romain, soldat en Afghanistan qui, après avoir perdu la plupart des membres de son unité, revient en France, physiquement indemne mais psychologiquement gravement blessé.  
​
Romain tombe follement amoureux de Marion, jeune journaliste, née dans un milieu modeste, mariée à François, PDG d’une grande entreprise. Ce dernier vient d’une famille aisée et n’a connu que le luxe tout au long de sa vie. 

Enfin, il y a Osman, ex-animateur social en banlieue devenu conseiller du Président de la République. 
 
Et puis tout bascule. Osman perd son poste auprès du Président parce qu’il a mal réagi à une remarque raciste. François commet un acte dont il ne mesure pas les conséquences, du fait de son éducation, et risque de tout perdre : sa réputation, ses amis, sa femme, sa vie. Quant à Marion, elle se retrouve déchirée entre ses deux amants et leurs vies tellement différentes. 
 
Ces quatre personnages se trouvent à la merci d’une société moderne sans pitié face à leurs problématiques identitaires. Peut-on échapper à son passé, à sa condition sociale ?   
 
Karine Tuil met en valeur des thèmes d’actualité : les réseaux sociaux, la guerre contre le terrorisme, le racisme, l’élitisme, la dérive des jeunes, soit tout ce que notre société peut produire de malsain. 
 
L’écriture est rythmée, et bien que le roman soit assez long (500 pages), il se lit vite. Je recommande vivement L’Insouciance !

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    Ecrivain, amateur de sports extrêmes, multi-entrepreneur, technologue.

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